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gpso (grand paris seine ouest) - Page 6

  • VANVES ET LE GRAND PARIS : LA CREATION DE LA METROPOLE S’INVITE DANS LA CAMPAGNE DES MUNICIPALES ET SUSCITE QUELQUES INQUIETUDES

     

    La campagne des élections municipales a reporté au mois d’Avril, la mise en place de la mission de préfiguration qui  aura du travail sur la planche car il s’agira de dissiper de nombreuses incertitudes sur diverses questions concernant la gouvernance, les finances et le personnel, les modalités d’exercice des compétences entre MGP (Métropole du Grand Paris)  et territoires qui remplaceront les intercommunalités au 1er Janvier 2016, mais aussi la Région Ile de France. Elle n’arrange rien,  surtout dans les relations entre PS et PC dans le 93, ni entre l’UMP et l’UDI dans le 92, car si certain sont encore prêt à discuter comme Patrick Ollier (UMP), député maire de Rueil, d’autres ne le sont plus du tout comme Jean Claude Fromantin (UDI), député maire de Neuilly, alors que Patrick Devedjian, président du Conseil général des Hauts de Seine court après les Yvelines. « Beaucoup ont adopté une attitude qui est lié à leurs parcours et ambitions politiques dans cette histoire, et les élus locaux qui privilégient leur ville sont agacés par la stratégie des uns et des autres. L’attitude de Claude Bartoloné qui ambitionne d’être le premier président de la MGP agace jusqu’aux socialistes. Même Cécile Duflot ne s’est pas fait que des amis avec son Nouveau  Grand Paris du Logement » indique un des élus de Paris Métropole, syndicat mixte regroupant plus de 200 collectivités territoriales franciliennes, qui souhaite ête associé de près à ses travaux. C’est tout le débat qui occupe ses réunions depuis le début de l’année et auquel restent bien sûr étranger l’ensemble des franciliens.   

    Le Grand Paris s’est pourtant invité dans la campagne électorale. Et nos candidats n’ont pas manqué d’en parler depuis le début : « c’est théorique. Mais il est important que vous sachiez ce qui se trame ! J’ai été surpris dans les précédentes réunions publiques de voir que  les vanvéens sont conscient que des jours sombres nous attendent. Je n’ai jamais connu une époque avec une telle incertitude, ce qui est inquiétant » indiquait Bernard Gauducheau (UDI). A ses yeux « l’objectif de la MGP est de piquer l’argent des Hauts de Seine…et  de densifier. On ne voit pas où nous pourrions construire ? dans le parc F.Pic ?  dans ou sur le cimetière ? La MGP va générer la suppression de la Communauté d’Agglomération de GPSO, alors que nous avons fait le bon choix d’y participer, le 1er Janvier 2016. Et à ce moment là, nous serons confronté à notre propre destin, et les compétences de GPSO seront transférées à la MGP. Il faut se mobiliser pour gagner les élections, car ce sera une façon de dire non à cette MGP qu’ils nous préparent. Alors que tous les autres candidats  soutiennent cette MGP qui va nous affaiblir. Si des communes nous suivent, nous pourrions les faire revenir en arrière » explique  t-il en constatant « qu’ils sont en train de repenser l’architecture de collectvités. Et cela ne fera qu’éloigner de la décision,  nos concitoyens ». Avec cette  idée de fusionner les départements de la petite couronne et Paris : « Or le département est un appui financier aux communes. Mais depuis longtemps, ils veulent faire main basse sur nos richesses. S’ils pouvaient prendre une belle rouste, on les ferait reculer ! »

    Ce n’est évidemment pas la même musique, du côté d’Antonio Dos Santos (PS) qui avait invité pour la galette des rois du PS en Janvier dernier, Alexis Bachelay, député de la 1ére circonscription des Hauts de Seine (Colombes, Gennevilliers, Villeneuve La Garenne), qui fait partie de cette poignée de parlementaires socialistes, ayant organisé, « ce véritable coup de théâtre parlementaire et big bang territorial » poussé par un certain Claude Bartolone. « L’effet de surprise a pu froisser quelques sensibilités  et esprits chagrins. Mais la MGP, ce n’est pas un machin, mais un projet de société, l’incarnation du vivre ensemble » qui « n’est pas sortie de nulle part car des initiatives ont été prises pour améliorer la coordination des politiques publiques au cœur de la Région Capitale » expliquait ce dernier en citant B.Delanoë « qui a été le premier à tendre la main pour relever le défi de la coopération métropolitaine », Philippe Dallier « qui a proposé le premier la fusion des départements de la petite couronne »,  et Jean Paul Huchon « qui a saisit la perche que tendait Maurice Leroy (alors ministre du Grand Paris) avec ce compromis de 2011 sur le réseau de métro automatique et le plan de mobilisation des transports (devenu le Nouveau Grand Paris des Transports) qui assurent l’avenir et l’urgent en matière de transports en commun ».  

    Cette MGP a l’objet d’un numéro spécial du journal des socialistes de Vanves « Le 92 », où ils expliquent que « c’est une étape logique après le Grand Paris du Président Sarkozy et la mise en œuvre du Grand Paris Express, car l’objectif est de mettre en place une gouvernance commune afin de faire face au Grand Londres et aux autres grandes villes européennes et mondiales ». Tout en reconnaissant que « des ajustements et améliorations seront indéniablement nécessaires. Il s’agit là d’une première étape dont les changements qu’elle occasionnera peuvent effrayer ». Ils en profitent pour rassurer : « Nous oeuvrerons pour le respect des spécificités de Vanves, la poursuite du développement du territoire de GPSO autour des projets de « ville numérique » et « nous serons vigilants sur les conditions du futur transfert des agents intercommunaux ».

    Pour le Front de Gauche, « la MGP est un problème pour la population. On va créer un systéme plus éloigné des citoyens, perdre en proximité, en confiant de plus en plus d’activités à des entreprises privées. On va reprendre un certain nombre de responsabilités des communautés d’agglomération, ce qui posera des problèmes car elle va coûter très cher au citoyen » constate Boris Amoroz (FdeG) tête de liste en se demandant «  qui aura la main sur les choix qui seront fait ? ». Tout en rappelant que  « ce n’est pas le PS qui a sorti le Grand Paris au départ, même s’il le soutient maintenant, et cela fait partie des points de désaccords avec lui, mais la droite, qui a beau jeu de critiquer. Et on le constate à GPSO où la droite confie de plus en plus de chose au secteur privé (espaces verts, voiries, déchets…). On ne sera pas en accord avec Bernard Gauducheau sur ce sujet là et bien d’autres : qu’est-ce que l’on veut faire des activités publiques, des intercommunalités ? »

    Les écologistes ne se sont pas encore exprimés sur la MGP à l’occasion de la campagne, mais ils ont indiqué leur position à l’occasion des réunions du Conseil Communautaire de GPS0. Ils dénoncent « les conditions d'opacité et de précipitation qui ont présidé à l'élaboration du projet de loi, faisant fi de l'action des acteurs locaux impliqués dans l'élaboration partagée d'un projet métropolitain... » comme l’a expliqué claire Papy. Ils déplorent la suppression des EPCI prônant plutôt un renforcement de leurs compétences à la condition qu’ils soient construit sur des bassins de vie -  « le territoire de GPSO est une construction artificielle : Arc de Seine puis GPSO sont nées de petits arrangements entre amis politiques pour limiter le poids de la péréquation en Ile de France » -  que leurs membres soient élus au suffrage universel, que les départements s’effacent (fusionnent) au profit d’un renforcement des pouvoirs de la région… « Nous sommes conscients de tout ce qui a été fait depuis 10 ans pour mettre en place les communautés d'agglomération d'Ile de France, et il serait regrettable de balayer tout ce ce qui a été patiemment construit et commence à faire de ces territoires des réalités bien vivantes » indiquait elle en ajoutant que « les écologistes, eux, s'inquiètent de voir les décisions s'éloigner toujours plus de nos concitoyens ».

  • VANVES ET GPSO : MONTEE EN PUISSANCE D’UNE INTERCO MENACEE PAR LA METROPOLE DU GRAND PARIS

    Deux conseils communautaires se sont tenus autour de la trêve des confiseurs, le 19 décembre pour examiner 60 délibérations diverses et variées dont une grande partie concernait l’habitat, et le 8 Janvier pour procéder à l’installation des représentants des deux nouvelles villes qui ont rejoint GPSO, Velizy avec 9 délégués communautaires  et Marnes la Coquette, avec 2 délégués, après un long processus administratif. Les 95 délégués communautaires ont aussi durant cette soirée,  débattu des orientations budgétaires pour 2014 à un moment où la préparation du budget 2014 s’avére particulièrement difficile pour les collectivités territoriales « prises en étau entre la diminution annoncée des concours financier de l’Etat et la nouvelle étape franchie dans la montée en puissance des mécanismes de péréquation ». 12 M€ de charges supplémentaires et de baisses de recettes devront être pris en compte par GPSO dont 6 M€ uniquement à cause de la péréquation.

    C’est là que se prennent maintenant  les décisions qui engagent l’avenir de nos communes, et les élus ont compris que c’est là que se décident les investissements structurants et les orientations stratégiques du territoire. « Le 3éme tour des élections, pour les postes intercommunaux, sera âpre. Pas pour les indemnités, parce qu’ils savent ce que permet ce niveau. Ce sera davantage le cas qu’aux élections précédentes. On ne pourra plus complétement occulter l’intercommunalité puisque les gens vont voter pour elle. Le mode de scrutin obligera à tenir un discours sur elle » explique un spécialiste. C’est la raison pour laquelle le Blog Vanves au Quotidien s’intéresse à ce qui se déroule à GPSO et  au niveau de la Métropole du Grand Paris, très peu traité dans Vanves Infos mais aussi les revues municipales des autres villes. Même si une épée de Damoclés est dessus de la tête de cette interco qui devrait disparaître le 1er Janvier 2016 à cause de la création de la Métropole du Grand Paris qui supprimera toutes les Communautés d’Agglomération de la Petite Couronne

    A travers les documents des derniers conseils communautaires, les citoyens peuvent avoir accés à de nombreuses infos : 97 chantiers ont été réalisés durant l’été 2013 pour un montant de 39 M€. Suite à l’élargissement des zones de stationnement payant dans notre commune, la ville a dû recruter 2 agents de Surveillance de la Voie Publique supplémentaire. Ce qui porte à 5 le nombre d’ASVP mis à disposition auprés de GPSO qui a  depuis quelques années la compétence stationnement. La situation budgétaire délicate et la diminution constante des subventions alloués pâr le ministère de la culture et de la communication a amené GPSO à engager une réflexsion sur le développement de démarches pédagogiques partagées entre conservatoires inscrits au sein d’un même réseau d’établissements avec des mutualisations possibles de ressources techniques et logistiques.

    En matière de logement, GPSO a attribué une subvention de 458 800 € à Toit et Joie (SA d’HLM) pour la réalisation d’une résidence sociale de 124 logements locatifs sociaux pour étuudiants et jeunes actifs sur un terrain apparenant au Secours Catholique, derrière les bâtiments du Rosier Rouge. Ce chantier dont le coût s’éléve à 12 042 131 € comportera également une créche et une épicerie sociale. En contrepartie, Issy et Vanves bénéficieront de l’attribution de 31 logements sociaux réservés à GPSO dans le cadre de ce programme. Enfin, la Communauté Urbaine qui œuvre en faveur de l’adaptation des logements des personnes âgées et/ou handicapées afin de favoriser leur maintien à domicile en prenant en charge l’intervention d’un ergothérapeute au domicile de la personne, puis en accordant une aide financière d’un montant de 3000 € pour la réalisation des travaux (11 182 € en 2012 pour un montant global de travaux de 39 905 €), a permis à 3 Vanvéens d’en bénéficier au cours de l’année 2013.

    A Suivre : Des aides au logement à l’habitat dégradé

  • VANVES ET SES 6 CONSOEURS DE GPSO ACCUEILLENT CE SOIR VELIZY ET MARNES LA COQUETTE

    Velizy et Marnes La Coquette ont donc rejoint la Communauté d’Agglomération (CA) de GPSO (Grand Paris Seine Ouest) depuis le 1er Janvier 2014, créant ainsi  un EPCI  de 320 000 habitants avec un bassin de 200 000 emplois. Ce qui est assez important en IDF et situe GPSO après Plaine Commune (93). A peine, 8 jours plus tard, Le conseil communautaire se réunit ce soir pour procéder à quelques changements au niveau de l’exécutif en élisant 2 nouveaux vice présidents, les maires de ces deux communes, Joel Loison (Velizy) et Christiane Barody-Weiss (Marnes La Coquette) qui est vice présidente au Conseil Général des Hauts de Seine chargée des colléges, et des conseillers communautaires puisqu’il faut intégrer les représentants de ces deux communes. Du coup, au prochain renouvellement, après les élections municipales, Vanves devrait perdre un siège. D’autres questions sont inscrites à l’ordre du jour de ce conseil communautaire qui débutera à 18H30 à l’Hôtel de ville de Boulogne : le débat d’orientation budgétaire, et des délibérations présentées par Bernard Gauducheau  dans les domaines du développement durable, de l’environnement et de l’assainissement qui est son domaine de compétence, mais aussi ceux de la voirie, du stationnement et de l’espace public car il assure l’intérim du maire de Sévres à la suite de son accident de santé.

    Les observateurs ont pu constater que l’arrivée de ces deux communes au sein de GPSO pourrait se résumer ainsi : « faisons contre mauvaise fortune, bon cœur » : « Nous sommes entrés dans GPSO parce qu’il ne fallait pas rester tout seul, entouré par de grandes intercos,  ou sinon on se serait fait inclure automatiquement dans l’une d’entre elles. Car avant que n’arrive ce nouveau projet de loi sur la Métropole du Grand Paris, nous avions l’obligation d’en rejoindre une. Comme nous travaillons déjà et beaucoup avec des communes comme ville d’Avray, Meudon où se trouve notre trésorerie, que nous connaissons bien tous les maires de ces villes voisines, nous avons choisi d’entrer à GPSO » expliquait la maire de Marnes La Coquette à Première Heure, journal d’information politique dans les Hauts de Seine en reconnaissant « qu’on n’en avait foncièrement pas besoin, car nous arrivons à nous débrouiller tout seul. Mais comme la tendance est d’aller vers un territoire entièrement recouvert par des intercommunalités, nous avons fait le choix d’aller où cela nous paraissait le plus judicieux : comme nous étions déjà dans le schéma de cohérence territoriale (SCOT), le syndicat des Côteaux et du Val de Seine, depuis 4 ans, nous avons choisi GPSO ». 

    Pour le maire de cette plus petite communes des Hauts de Seine, en nombre d’habitants, «  cette Communauté d’Agglomération  nous apportera une expertise que nous n’avons pas, notamment au niveau de la voirie où Marnes la Coquette dispose de 3 personnes, GPSO se chargeant depuis 3 ans, de  la viabilité hivernale, de l’assainissement, de l’entretien, des gros marchés publics, des déchets, des transports avec des lignes partagées avec les communes riveraines. Cela va nous donner un poids que nos n’avons pas, car nous n’avions aucun moyen de pression, avec nos 620 foyers ». A noter qu’aux prochaines municipales, comme ce fut le cas en 2008, la maire sortante ne devrait pas avoir de concurrents, et sa liste, être la seule à se présenter.  

    Velizy a choisi de rejoindre GPSO  plutôt que Versailles Grand Parc  « tout d’abord parce que notre bassin de vie de Velizy Villacoublay est commun avec celui des deux villes de GPSO, Meudon et Chaville. Nous sommes en continuité urbaine avec elles alors qu’avec Versailles Grand Parc, nous sommes en continuité territoriale mais à travers la forêt. Mais une forêt, même s’il est agréable de s’y promener ne constitue pas un bassin de vie. Ensuite, sur le plan des perspectives de développement, nous pensons que nous avons plus de probabilité d’opportunité de développement économique notamment avec GPSO qu’avec Versailles Grand Parc qui ne peut que se développer qu’à travers Satory, c'est-à-dire vers le sud Ouest en direction de Guyencourt, ce qui nous exclut complètement. Par contre, GPSO ne peut se développer que vers son sud, et en direction du plateau de Saclay sur lequel est prévu, à terme, un cluster, et donc un bassin économique. Nous sommes sur la trajectoire, ce qui veut dire que toutes les opportunités de développement de GPSO ou de Saclay, l’un  vers l’autre, nous engloberont forcément. Nous avons donc des synergies à développer dans ce cadre de là. C’est le point le plus important qui a pesé le plus dans notre choix » expliquait Joel Loison (DVD), son maire à Première Heure.

    Mais voilà, le projet de Métropole du Grand Paris a jeté le trouble depuis qu’il prévoit la suppression des intercommunalités en petite couronne. La presse locale (yvelinoise) a fait état de divergences au sein du conseil municipal entre le maire Joel Loisin (DVD) et l’UMP Pascal Thévenot, ex-adjoint,  qui a reçu l’investiture de l’UMP 78 pour conduire une liste aux Municipales. Ce dernier étant « farouchement opposé à ce rattachement » demandait un débat « pour sortir du flou qui entoure le projet de Métropole Grand Paris dont dépend l’avenir de GPSO ». Alors que le maire s’en tenait à ce qui est prévu par le texte qui lui laisse le temps de voir puisque la suppression des intercommunalités est prévu le 1er Janvier 2016. D’ailleurs un amendement UMP déposé à l’initiative de Valérie Pécresse et d’élus des Hauts-de-Seine et de l’Essonne, donne la possibilité pour les communes de grande couronne, membres d’une intercommunalité de la petite couronne de décider de ne pas être intégrées dans la Métropole du Grand Paris. Il prévoit que l’adhésion de ces communes à la Métropole doit faire l’objet d’une délibération expresse du conseil municipal avant le 30 septembre 2014. « L’intégration des communes dans la Métropole se fera ainsi sur la base du volontariat et non plus de manière automatique, ce qui préserve l’autonomie des communes ».

    Grâce à cet amendement, des communes telles que Vélizy, Maurecourt, Wissous ou Verrières-le-Buisson, condamnées à être absorbées par la Métropole et à perdre toutes compétences en matière de logement, d’urbanisme et de développement économique, et tout contrôle sur une partie de leurs impôts, ont retrouvés ainsi une porte de sortie pour échapper à ce monstre bureaucratique, comme l’avait espéré le maire de Velizy dans Première Heure. « Cet amendement est un soulagement pour les habitants de ces communes qui pourront garder la main sur le visage de leur ville et ne pas se voir imposer depuis Paris des décisions dont ils ne veulent pas ».